Collection unique
de marionnettes et d'ombres chinoises
des XIXe et XXe siècles
Depuis 1976, le Théâtre du Petit Miroir a constitué une collection exceptionnelle de marionnettes et d’ombres chinoises des XIXe et XXe siècles, rescapées de la révolution culturelle.
La collection se compose de plus de 300 marionnettes de différents styles (fils, gaines, tiges, ombres) et de costumes d’opéra chinois provenant de toutes les régions de Chine. Les plus belles pièces sont les têtes de marionnettes à gaines de Quan Zhou, dans la province du Fu Jian, sculptées par Jiang Jia Zhou dont notre théâtre possède plusieurs dizaines d’exemplaires, et les ombres de Hua Hsien, recueillies par le professeur Jin Zhe Lin et confiées au Théâtre du Petit Miroir.
La presse en parle
Zurban
« A découvrir. »
Télérama
« Une véritable collection rescapée de la révolution culturelle. »
Le Monde
« D’éblouissantes marionnettes à gaine. »
Libération
« …une théorie de têtes nues totalement décapées, révèle de fins visages aux expressions presque bouddhistes… sur les murs se déploie une délicate frise de personnages, d’animaux et de décors exquisément ciselés. Des ombres chinoises pour la plupart rescapées de la révolution culturelle. »
Nord éclair
« Les marionnettes et autres ombres exposées sont tout simplement magnifiques… Cette exposition présentée par le théâtre du Petit Miroir est exceptionnelle par sa richesse… L’exposition du théâtre du Petit Miroir… présente une trentaine de panneaux d’ombres et des marionnettes toutes plus originales les unes que les autres. La disposition des panneaux magnifie la subtilité des couleurs et la richesse des mouvements. Les ombres et les marionnettes exposées ont réellement séduit le public. »
La Voix du Nord
« Franchir les portes du théâtre du Petit Miroir, c’est changer de continent. Après des années en Asie, le théâtre du Petit Miroir a posé son castelet rouge et or et sa fabuleuse collection de marionnettes chinoises ancienne à Issy les Moulineaux. »
Collection de la totalité
des dessins originaux
de Claude Boujon
Pour composer un album, Claude Boujon dessinait d’abord les images d’après un scénario qu’il griffonnait sommairement. Il se plaisait à dire :
« Une idée passe et je l’attrape au vol. »
Ce n’est qu’une fois les dessins parachevés, qu’il écrivait le texte de son histoire. Quelle meilleure façon de transmettre l’émotion et la bonne humeur propres à cet artiste que de voir, en exposition, ses dessins originaux.